J’ai failli arrêter aux 10 premières pages, ne comprenant rien à cette histoire d’un homme amnésique qui se réveille dans une église, et pesant la douleur des 600 pages restantes…
LES CONTRES :
long,
très détaillé,
souvent répétitif (pourquoi tant de paragraphes répètent-ils leurs prédécesseurs respectifs ? Ça fatigue, on se sent un peu délayés dans du remplissage inutile). Pourquoi répéter deux fois (parfois trois) la même chose, mot pour mot ?
J’ai un doute, que j’ose à peine exprimer, mais osons donc : L’auteur s’est il relu avant d’envoyer son livre à l’éditeur ? L’éditeur l’a-t-il lu d’un regard critique, avant de l’envoyer à l’imprimeur ?
LES POURS :
Histoires familiales passionnantes.
La vie rude et terrible d’autrefois, que nos parents ont vécue. J’ai tellement pensé à mes parents et grands-parents, que j’en ai presque pleuré…
Sens de la vie, de l’amour, de nos vies individuelles. Chacun cherche son sens. On y retrouve souvent nos propres errements. J’y ai ai retrouvé les miens….
Ta longueur n’est que douleur, car :
Ce livre, réduit de 600 à 500 pages, en allégeant détails et répétitions, et rendu un poil plus fluide à lire, serait passionnant ! Dommage.