Nouveau jeu d'échecs: le fou prend la reine dans la tour
J'ai honte d'avoir commis un tel titre. Tellement honte que je le laisse. Bref.
C'est sans doute ici que la saga du Disque-Monde décolle vraiment.
Si Mortimer était pas mal, celui qui a suivi, Sourcellerie, était vraiment moyen. Trois Soeurcières rehausse largement le niveau. L'histoire est enfin correctement construite, l'humour est omniprésent et la traduction de belle qualité. Les personnages sont attachants et intéressants, contrairement aux précédents opus où ils ne font que défiler les uns après les autres. On a d'ailleurs le plaisir de retrouver la fantastique Mémé Ciredutemps, apparue auparavant dans La Huitième Fille. Sinon, Terry Pratchett nous propose comme toujours sous un vernis d'humour des réflexions intéressantes et se permet une multitude de références en tous genres.
Trois Soeurcières m'a donc largement convaincu. À l'heure actuelle, il s'agit de mon Pratchett préféré.