cecinestpasunecritique
sans aller à commenter cet ouvrage particulierement et à défaut de pouvoir commenter une fiche "auteur " artiste "etc..
Je tape ce petit blabla pour dire que tout comme l'excellent Aldo Leopold , ces ouvrages sont l'émergence en action de ce qui sera récupéré ensuite et transformé par l'écologie politique.
A.leopold comme John muir, de part leur vécu, expérience, réflexions, ont posé les bases de ce qui devait devenir ensuite le "naturalsime " la protection de l'environnement " et le gros mouvement actuel de la wilderness, mode on kiffe le sauvage.
Or les vents souterrains ont depuis longtemps balayés la poussière de leurs os et heureusement,car sinon ils se retourneraient dans leurs tombeaux pour l'éternité.
Ces ouvrages sont des pépites d'observation, de temps passé avec et au coeur de l'environnement sauvage ( entendez une fois asseptisé quand même des ses peaux rouges..)
C'est toujours étonnant de constater qu'au coeur des spécialistes et professionnels de ces mileux, certains ne connaissent pas du tout cette litérrature.
Quand à ce "un été dans la Sierra" c'est pas le meilleur loin s 'en faut, je le surnote, dun point de vue litteraire on sautera pas au plafond, mais ces témoignages ont tant d'importance, qu'il faut le lire avec ce regard particulier de textes et personnages fondateur de ce qu'aurait pu devenir "l'écologie"..avant de n'être que politisée et buisinéssée et "bien pensisée "
Sans compter qu'il apporte quelques élements réalistes de ce qu'est le pastoralisme traditionnel à l'époque aux "Ameriques"