L’auteur revisite les genres, il propose une fiction en se servant des codes de la biographie. Je me suis plongée dans l’œuvre sans me poser cette question et depuis, j’ai juste envie de me dire que tout est vrai. L’histoire est trop belle pour n’être que fictive.
La sculpture est un thème original qui va être le fil conducteur du roman et le prétexte à l’évocation de d’autres sujets comme l’art et l’artiste dans la société et face aux événements extérieurs, les relations sociales et les enjeux de classe, le mystique et la religion, l’amour et l’amitié.
Enfin, je me suis attachée à cet amour si particulier, si unique, qui plane simplement dans l’atmosphère, qui n’a besoin d’aucune forme d’engagement, d’aucun épanchement pour être perçu, si ce n'est une promesse d'enfants.
Je pense que c’est le premier livre que je pourrais lire et relire et passer des heures à en parler…