Mimo est un sculpteur de génie né dans la misère. Viola a vu le jour dans une famille bourgeoise de Pierta d'Alba. Ces deux là n'auraient jamais dû se rencontrer, pourtant dès la première fois, à l'adolescence, un lien très fort se noue entre eux. Malgré les aléas de la vie, ils ne se perdront jamais complètement de vue. Jean-Baptiste Andrea raconte l'histoire de cette relation dans l'Italie de Mussolini.
Beaucoup de très bons passages dans ce roman. Les histoires de Mimo et Viola sont riches en péripéties, les deux personnages possèdent chacun une personnalité qui sort de l'ordinaire, et ils nous entraînent dans des univers très variés : sculptures, inventions, cirque, ... Mais par moments mon intérêt a faibli, j'ai trouvé, surtout vers la fin, que le roman était un peu long. Malgré tout, une lecture agréable.