En 2016, ça aurait pu être un film d'animation franco-belgo-nippon. La Tortue Rouge, qui relate le conte du célèbre naufragé dans un dénuement soporifique (et sans intérêt que graphique). Mais dans la famille des robinsonnades, j'ai choisi Michel Tournier. Michel Tournier, lui a quelque chose à dire. L'île est déserte mais elle est corne d'abondance à la pensée philosophique et poétique. C'est ce que La Tortue Rouge aurait du être : une allégorie de la vie avec son rapport à soi, la nature, son humanité, ses vices et sa divinité. Mais c'est Michel Tournier qui l'a fait avant alors balec.