... car je trouve le format frustrant. Quand j'aime un livre, il pourrait durer des pages, et des pages...
La nouvelle est souvent un "exercice de style", comme un court-métrage, l'occasion de montrer sa virtuosité en concentré, en quintessence.
Mais, seuls les imbéciles ne changent pas d'avis : sur les conseils de lecture des professeurs de mon fils, attaquons-nous à Stefan Zweig !
Et puis la longueur du texte est cohérente avec le propos, puisqu'il ne s'agit que de raconter "24 heures de la vie d'une femme".
Effectivement, c'est parfait : la description de la villégiature sur la Riviera, les hôtels, le casino, le jeu, les mains de cet homme qui joue, et cette femme dont la vie pourrait basculer en 24 heures.