Dans un hôtel, une discussion plutôt animée s’engage à propos d’une femme qui s’est enfuie avec un homme rencontré la veille, quittant ainsi son mari.
Le narrateur prend la défense de cette femme. S’ensuit alors une discussion avec une vieille anglaise qui lui raconte les vingt-quatre heures de sa vie qui l’ont marquée. Toute nouvelle veuve, elle tombe amoureuse d’un homme après avoir seulement observé ses mains dans un casino.

Vingt-quatre heures peuvent-elles changer la vie d’une personne ?
C’est ce que Zweig essaye de nous montrer dans ce court roman. Et il y réussit. On comprend bien que ces simples vingt-quatre heures ont changé et bouleversé la vie de cette femme.
Ce roman met également en évidence que les sentiments n’épargnent personne : même une personne d’un niveau social élevée peut être victime d’un coup de foudre et voir sa vie chamboulée à jamais.

Le style quant à lui est très agréable à lire : la description des mains du joueur est tout simplement éblouissante, tout comme la description de la passion du jeu.

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le 2 sept. 2014

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boobsi

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