White Jazz est le dernier volet de l'excellent Quatuor de Los Angeles...et le vilain petit canard noir.
L'écriture quasi télégraphique, systématiquement entrecoupée de tirets, sous prétexte de plongée introspective dans les pensées du narrateur, rend la lecture du pavé extrêmement pénible et fastidieuse.
Si vous n'avez jamais lu Ellroy, surtout, surtout, ne commencez pas par celui-là. Vous risqueriez de passer à côté de la trilogie Lloyd Hopkins, la trilogie Noire et les trois premiers tomes de la tétralogie sus-citée.
C'est bien parce que j'adore Ellroy que je mets cinq.