On retrouve dans Big order beaucoup du style de Mirai Nikki : même auteur, même studios, même type d’intrigue d’affrontement cosmique entre gens avec des méta-pouvoirs.
Même défauts.
À vouloir se lancer dans des intrigues trop complexes, les scénaristes oublient que tout le monde ne peut pas écrire Code Geass, et que cela signifie beaucoup d’incohérences. Surtout que celles-ci ne sont pas rattrapées par le reste, avec des personnages peu attachants et une réalisation chaotique qui saute du coq à l’âne.