Un bel exemple d'instrumentalisation par une idéologie wokiste et progressiste, en insistant bien sur le fait que tout a été la faute des hommes blancs qui se sentaient tout permis.
A plusieurs reprises on sent une démagogie fallacieuse de la part de certaines intervenantes pour finir sur une conclusion vomitive et incensée au possible.
Le documentaire en lui même est intéressant en soit mais ne relate pas les faits de manière objective et se voit dangereusement orienté en tentant vainement de créer des connections entre le festival et la "culture" de l'éveil moderne.
Un bon cas d'école pour comprendre le processus de sophisme a travers le monde du documentaire, mais dangereux de par son message, pour une partie des spectateurs un temps soit peu influencable.
On aurait pu parler de tout le coté capitaliste et ironique du festival en lui meme, des différences generationnelles et sociétales entre les deux éditions, mais etant donnée l'orientation de "l'oeuvre", seul son message compte ici. D'ou mon desir de le trucider.