C'est Netflix, donc :
- On va mettre un noir.
- On va mettre un jaune.
- On va mettre une lesbienne, non deux, comme ça on aura droit à une scène de baise totalement inutile au scénario, mais qui lavera bien le cerveau des gens / enfants.
C'est étrange, parce que dans l'animé les héros étaient tous plutôt caucasiens / européens, et il n'y était fait allusion à aucun moment de leur sexualité dévergondée.
On aura beau y mettre les moyens, un bon casting, de beaux effets spéciaux, et une réalisation convenable, dès l'instant qu'on nous verse cette propagande wokiste, cela se change instantanément en étron malodorant.
A fuir !