Baki n'est pas un manga pour philosopher. Ni pour réfléchir au pourquoi du comment. A la limite tu le regardes pour te marrer. Et encore. On suit juste un gars au visage poupin bourré de testostérone qui rencontre d'autres gars bourrés de testostérone mais au visage bien moins poupin afin de dépasser son père et de devenir l'homme le plus fort du monde. Pouah.
En même temps je n'ai pas trop le droit de me plaindre, ce n'est pas comme si le synopsis n'annonçait pas déjà la couleur du manga. Qui est, en d'autre terme, une prolifération d'hommes aux muscles exagérément dessinés (je suis sur qu'il y en a qui n'existe même pas) et de combats qui durent des plombes (trois épisodes pour un seul combat???) afin combler le manque total de profondeur des dialogues.
Plus sérieusement, c'est le genre de chose que l'on regarde quand on a plus rien a faire, pas trop insupportable (la plupart du temps) et sans prise de tête. Donc laissé la à coté si vous voulez sauvegarder votre santé mentale.
PS: Je n'ai pas encore regardé la saison 2 donc ma critique ne prend en compte que la première saison.