L’ Amérique selon Donald Béllisario

Il fut un temps ou les chaînes de télévision , proposaient des programmes correct à leurs spectateurs , c ‘ est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître . Béllisario a produit , entre autre « Airwolf « , « quantum leap « : « Magnum P.I « et bien sur « JAG » et ces spin off « NCIS « ET « NCIS – Los Angeles « en attendant « NCIS – Poitiers « .

Une collection de clichés , au delà du stéréotype

JAG à durer une décennie , ce qui pour n ‘ importe quelle série de ce type ( un policier procédural ) est plus que nécessaire , si vous cherché un grand brun , la mâchoire carrée , héroïque au possible ( le Superman de base sans les pouvoirs en faite ) , ayant un trauma ( il lui faut sa kryptonite , la ; la perte de son père et une vision en vol défaillant ) , avec égalité des sexes oblige , une collègue forte en gueule , femme forte , mais fragile , alcoolique ; une Wonder Woman de papier et de la tension sexuelle durant neuf saisons et vous avez le lead chipper de la série . Car comme le grand public ne peut s ‘ intéressée aux histoires seules ; il faut donc du « romantisme « de carton pate . J ‘ en oublie Bud et Harriet , qui sont le contrepoint a notre couple héroïque , Bud et Harriet sont mariée , on des enfants c ‘est le couple moyen par rapport au demi dieux : Harmon Rabb Jr ( le Superman ) et Sarah MacKenzie ( la Wonder Woman ) . Ce sont en théorie des avocats , mais c ‘est exceptionnelle , en réalité ce sont des commandos qui peuvent détruire un pays ou tué un terroriste avec une cuillère a café , c ‘ est « Chuck « avant l ‘heure .

Le virage post 11 septembre 2001
Après les attentats du World Trade Center , la vision est passée d ‘ une Amérique à la « Tom Clancy « à une série quasi Bushiste , quand on regarde les épisodes post attentats , les notions de « nuance « et de « légèreté » on été bannie , les USA ont toujours raison , même quand il ont tord , sans compter que cette série , n ‘ y va pas avec le dos de la tronçonneuse sur certain pathos ; mais c ‘est propre aux séries très grands public . JAG ne poserais aucun problème si elle avait étez seul , le soucis est qu ‘ il y a eut « Battlestar Galactica « voir « CSI » qui intègre la notion de nuances . JAG est manichéen ; ce qui en 2011 n ‘est plus possible ( à part en France avec Joséphine ange gardien et son équivalent web série : héllo geekette ) . et puis on sent que Béllisario tourne en rond , sur trois séries , il nous ressort son trauma du Vietnam . Finalement et malgré ses rediffusions , JAG vieilli très mal , non pas a cause de Ken et Barbie , mais d ‘ une vision du monde américano – centré .