Série vendue comme pouvant être regardé dans n’importe quel ordre, Kaléidoscope se montrait comme une série de braquage changeant un peu de ce qu’on a pu voir, mais hélas, pas tant que ça.
Malgré tout, Kaléidoscope reste comme même plus appréciable en gardant une certaine logique de visionnage. Au lieu d’avoir un épisode, une temporalité différente, je m’attendais à voir, un épisode, un point de vue différent avec ses questions qu’on a, car on ne connaîtrait pas tout. Ce style là m’aurait plus plût.
Le rythme est constant, on a pas vraiment de moments plus vifs que d’autres. De plus, on ne ressent pas l’excitation ou le stress des braqueurs pendant le braquage. La série manque d’émotions et de personnalités.
Au final, l’ordre des épisodes n’impacte pas tellement le visionnage et sert juste de voir un après-braquage et ses conséquences, sans connaître ce qu’il s’est réellement passé.
On suit différents personnages avec chacun leurs personnalités, on retrouve les mêmes stéréotypes de personnes dans un film de cambriolage. Les personnages ne se démarquent pas, même Giancarlo Esposito qui a déjà fait des rôles magistraux comme Gus Fring ne se démarque pas.
On a quelque choix de musiques sympas qui rehaussent certaines scènes et qui améliorent le rythme. Pas de fautes niveau CGI, mais la série ne possèdent pas de beaux plans.
La série propose un cambriolage sympa, même si un peu trop facile, elle ne révolutionne pas le genre, et l’idée centrale de la série reste mal exploitée pour moi-même si cela change des cambriolages qu’on a pu voir.