Je suis très triste qu'en 2019, la définition de l'amour pour des artistes visuels, se résume à un acte coïtal. Comme si, quand on aimait quelqu'un, la seule chose qui pouvait en découler, c'était un acte de copulation, et rien d'autre. C'est le défaut de Love Death & Robots, qui pollue le plaisir qu'on pourrait avoir de l'oeuvre. Ça avec le désir de faire du trash, juste pour en faire. Ainsi, arrivé au 8ème épisode, c'est la fatigue émotionnelle. Va t-on plus longtemps se coltiner cette interprétation déviante de l'amour, de la mort, avec un soupçon de robotique ? Non. On s'arrête à ce qui sauve vraiment le tout, l'épisode 8, qui est le seul à mes yeux, une vraie expression de l'amour, un reflet de la mort, avec un soupçon de robotique.
PS : L'épisode qui rappelle Alien...il est intéressant, mais le traumatisme peut être réel.