c'est l'idée incessante qui, à mon sens, tourne autour de cette série, la responsabilité des actes.
l'alcolisme
l'homophobie systémique
la santé mentale
l'abandon / la solitude / le rejet
l'incapacité à connecter avec les gens
"enjoy your privilege"
la police ne capte rien
être quelqu'un de bien (good boy)
beaucoup de sujets sont abordés et la finesse de la frontière qui sépare le monstre du marginalisé est très bien amenée je trouve.
je ne connais pas assez bien la vie de cette personne pour prendre conscience de la subjectivité de la série mais je trouve intéressant ce questionnement de la cause en mettant quasiment de côté la morale.
l'inné contre l'acquis, la fameuse question à 1 million qui peut avoir des impacts désastreux quand ils sont conjugués à un système défaillant.