J'adore m'abreuver de bonnes séries, et celle-ci est une des meilleures que j'ai pu voir.
Comme à mon habitude, je ne vais pas vous raconter le synopsis. J'suppose que, comme vous savez lire, vous avez remarqué que le résumé s'inscrit sur la page de cette série. Et puis, j'sais pas résumer, j'm'embarque dans des anecdotes foireuses et j'passe à côté de la vraie problématique. Restons-en à ce que je sais encore faire le mieux : me laisser envahir par les émotions.
"Pigalle la nuit", j'l'ai sans doute vu en moins de deux jours. J'ai enchainé. Hop hop hop.
J'y ai découvert Simon Abkarian, que j'ai adoré, parce qu'il joue très bien, parce qu'il envoie du pâté, parce qu'il a une classe et une dégaine que personne d'autre ne peut avoir. J'me trouve toujours un personnage à adorer, dans un film, un série. Abkarian a très bien rempli ce rôle. Très très bien, même.
J'y ai découvert un tout autre Pigalle. Depuis cette série, dés que je vais à Paris, je vais à Pigalle, la nuit. Nouveau pèlerinage. Ne serait-ce que pour admirer le monde de la nuit et des corps qui remuent, les enseignes qui brillent, les sex-shop aux allures de caverne d'Ali-Baba.
J'y ai découvert une série qui ne te lâche plus. Ah non. Je voulais savoir, à tout prix, quitte à me ruiner les yeux devant mon écran.
J'y ai découvert des corps, des corps, des corps.
... Tout ça pour dire que "Pigalle, la nuit", c'est géant.