La série, en deux saisons, nous plonge dans un monde du futur qui verra les hommes adopter des robots androïdes, appelés Hubots, plus ou moins évolués, selon la génération : les modèles anciens sont plus basiques que les nouveaux, qui eux sont très capable de faire illusion dans la comparaison avec un humain. Et puis un logiciel récent permet de rendre plus intelligent et sensible n'importe quel Hubots. C'est la raison du titre de la série : 100% humains.
Tel nos smartphones, ces androïdes, ont besoin de recharger leur batteries relativement souvent, a l'aide d'un câble USB, branché sur le secteur (une prise 230v). Un autre fait qui nous permet de les différencier (mais la différence est minime) c'est leur aspect lisse comme des mannequins. Tout cela nous renvois comme un miroir sur l'évolution de notre propre société, les nouvelle pratiques de la jeunesse.
L'intrigue, est en fait multiple, nous amenant à suivre différents personnages, différentes situations (familles, célibataires, couple en crise, monde de l'entreprise, etc.) et différentes problèmatiques (la société est politiquement divisée sur le danger que le développement du nombre de Hubots peut poser; des Hubots tellement évolués qu'ils sont proche de l'humain ont-ils les mêmes droits que nous; jusqu'où un Hubots peut remplacer la présence humaine comme dans les cas de solitude et de manque d'affection, etc.).
Dans la deuxième saison, une problématique plus complexe est introduite, celle du créateur du logiciel qui a permis de rendre ces Hubots semblables aux humains... On touche alors au mythe de Frankenstein.