Episodes 1 & 2
L'intro du pilote en animation est le seul moment
potable, le reste destination poubelle.
Apocalypse générique, la planète devient un mister freeze, on connait la chanson quand on a vu le film.
Les hordes de forceurs intermittents sans billets -revenant du festival d'Avignon- qui ne voulaient pas finir en surgelés picards ont pris d'assault le ouigo du turfu, seule planche de salut disponible.
Le train est est une -énième- métaphore foireuse de la lutte des classes.
Dans la queue du train, les resquilleurs sans billets sont tous des gens merveilleux et bienveillants. Le camp du bien, l'harmonie et les bisous règnent malgré la misère. La plèbe universelle en haillons a toutes les qualités et aucun défauts.
C'est l'inverse pour la force opposée. Les élites parasitaires nécessairement dégénérées portant fourrures, arrogance et mépris. Entre les deux, la stasi-CRS sert de tampon.
Le script a sans doute été écrit par un membre de la LCR en fac de socio.
Leur projet de vie c'est l'inssurection violente, prendre le controle du train et accessoirement le meurtre de masse à coups de surins pour y parvenir.
Etant oppressés par la SNCF -on peut comprendre leur réaction- un retard, une grève de trop et c'est l'étincelle qui déclenchera la "révolutione"
prolétarienne merguez CGT compatible.
Le régime en place s'écroulant pour un sandwich triangle à 7 euros saveur carton.
Un meurtre est commis chez les élites. Le staff ne trouve rien de mieux que d'aller chercher André -ancien flic- pour résoudre le crime.
Alors, permettre l'accès à presque tous les wagons d'une personne qui souhaite probablement renverser la table, c'est juste comment dire, non.
L'incohérence est trop flagrante, la prise de risque ne tient pas une seule seconde.
Cette série est un cancer. Bisous.