Pour faire court, l'intrigue, de qualité, et la plutôt très bonne présentation des différents acteurs est presque totalement gâchée par un féminisme nauséabond.
Les clichés, dès qu'il s'agit de ces questions, sont pire les uns que les autres, et Gillian Anderson en devient détestable dès la saison 2.
On y caricature les hommes, leurs décisions, leurs prétendues faiblesses et perversions, et les femmes y sont dépeintes comme fortes, solides, courageuses, et de tout temps opprimées par cet odieux patriarcat.
Un point positif tout de même, dans cette marre vaseuse de féminisme, il n'est pas question de transgenrisme, et on ne nous fait pas l'apologie de l'odieux blanc raciste. Ne riez pas, ça aurait pu, mais l'auteur s'est arrêté là, et c'est tant mieux, car le spectateur en quête de détente saura faire fi, je l'espère, de ces débilités, pour passer un bon moment.