Une série sur l’univers de l’escorting. Ça a déjà été fait c’est parfois plutôt bien réalisé mais très souvent ennuyant et sans véritables scénario.
Saison 1 : Escort c’est cool sauf dans le vrai boulot quoique…
Une jeune fille qui est stagiaire dans un cabinet d’avocats, qui continue la fac et qui fait de l’Escorting de luxe (2 000€ de l’heure) pour l’amour du sexe. Évidemment on est là dans le contre-pied; comme quoi le fait d’être une pute c’est vraiment super cool et on s’éclate vraiment entre le sexe, la thune, le pouvoir, les voyages, les soirées, les belles robes et les belles chaussures…
Mais l’actrice bien que très jolie et très souvent totalement à poil manque un peu de charisme et de caractère. Cependant, quelques épisodes sortent du lot (le Revenge Porn) et quelques séquences ici ou là… Mais le tout est assez faiblard à part la mise en scène et les décors qui sont vraiment exeptionnels.
Note : 6/10
Saison 2: Des amours politico-lobbyistico-puto saphiques
Une saison des plus merdiques. Deux histoires de 7 épisodes chacun non liés à la saison précédente et entre eux.
La première est d’une tristesse absolue des scènes de cul à rallonge et qui se répète dans une monotonie lancinante on se fait vraiment chier entre partouzes, lesbianisme assez convenu et crises d’hystéries tout aussi stéréotypées et mal interprétées.
Une deuxième partie de saison plus classique une ancienne pute qui a donné son Sugar Dady et veut retrouver le droit chemin mais y arrive pas trop. Mais le tout est tellement naïf que la saison paraît longue.
Le seul point positif de la saison deux est les premiers épisodes ou la plastique, la mise en scène et la froideur des décors complètement neutres, aseptisés et sans vie sont assez phénoménaux, il n’y a quasiment aucun figurant en arrière plan, c’est très bien fait.
Note : 2/10.
Saison 3: l’escorting 3.0
Une saison trois qui démarre de façon classique mais avec quelques intentions plutôt louables. Une « futur neuro-scientifique » devient pute pour mieux comprendre le « désir humain »… Lol…Ce thème de « doctorat » est mis en parallèle avec la maladie de son père et sa tristesse personnelle…
On se fait chier, ça part dans tous les sens dans une œuvre plus ou moins de science-fiction et d’anticipatioou les scènes de cul du début se mélangent avec des scènes d’orgies numériques complètement WTF… on attends la fin des 25 minutes pour passer à l’épisode suivant.
Pour à la fin voir une espèce de sacrifice ultime qui permettrait de mieux comprendre l’espèce humaine… C’était tellement con!!!
Note : 4/10
Heureusement que les actrices sont mignonnes et qu’on les voient souvent légèrement vêtues.