Joel et Ellie, duo de choc dans l'apocalypse
Plonger dans "The Last of Us" sans avoir touché aux jeux vidéo, c'est un peu comme débarquer à une bataille de boules de neige avec un lance-flammes. Mais une fois que le feu prend, difficile de ne pas apprécier le spectacle. Joel, le genre de gars qui pourrait vendre un frigo à un esquimau, nous guide à travers un monde ravagé, accompagné de la jeune Ellie, qui a clairement fait ses études de survie en regardant des tutoriels sur YouTube. Le duo fonctionne à merveille, même si parfois, on se demande si Joel n'aurait pas besoin d'une paire de lunettes.
Un scénario aussi bien ficelé qu'un cosplay de Spider-Man
L'histoire, c'est un peu comme un sandwich bien garni. Certes, il manque peut-être un peu de sauce d'explication, mais chaque ingrédient a son rôle à jouer. On est immergé dès le départ, comme un cosplayer dans une convention. Les personnages principaux sont plus attachants que des peluches Pokémon, même si les seconds couteaux sont un peu comme des PNJ un peu négligés. Le rythme parfois lent de la narration fait parfois traîner l'intrigue comme une quête annexe, mais au final, le scénario est aussi solide qu'une armure de chevalier Jedi.
Un budget qui claque comme un combo de Street Fighter
La réalisation, c'est là où le jeu vidéo rencontre le cinéma, et "The Last of Us" gère ça comme un boss final. Visuellement, c'est plus bluffant que de voir Iron Man s'envoler pour la première fois. Les effets spéciaux sont aussi bien exécutés qu'une cascade de Jackie Chan, et certains plans sont si bien calibrés qu'on les croirait sortis tout droit d'une épopée vidéoludique. Le monde post-apocalyptique est crédible à souhait, avec un réalisme qui fait froid dans le dos, comme un hiver à Westeros. On se sent vraiment dans la peau d'un personnage, comme si on avait mangé une Super Étoile de Mario.
Musique répétitive, comme un NPC qui radote
La bande-son, c'est un peu comme le sidekick d'un super-héros. Certes, elle accompagne, mais parfois on se demande si elle n'a pas pris un peu trop de potions de redondance. La musique est belle, certes, mais à force de l'entendre, on a l'impression que le compositeur avait une playlist limitée. Heureusement, la mise en scène est tellement magnifique qu'on pardonne volontiers ce léger accroc auditif. On se retrouve plongé dans un univers comme un cosplayer dans une mêlée de fans en furie.
Conseil d'ami : Survivre à cette série, c'est comme un cheat code dans la vie
Même sans avoir touché aux manettes, "The Last of Us" séduit comme un personnage de romance intergalactique. On s'implique dans la vie des protagonistes, on ressent le stress de la survie comme si on avait oublié d'enregistrer notre partie. Visuellement, c'est une claque, comme prendre une boule de feu de Bowser en plein visage. Bref, cette série, c'est le cheat code qui te permet de survivre dans la jungle des productions télévisuelles. Foncez, bande de geeks en mal de sensations fortes !
The Last of Us - Une apocalypse à déguster sans modération
En conclusion, "The Last of Us" n'est pas qu'une série, c'est une expérience. Joel et Ellie vous emmènent dans un road trip post-apocalyptique plus captivant qu'un crossover entre Batman et Deadpool. Malgré quelques défauts, cette première saison nous offre un spectacle aussi intense qu'un duel entre Gandalf et Dumbledore. Alors, accrochez-vous à votre canapé comme si c'était votre joystick préféré, et laissez-vous emporter par cette aventure épique qui rendrait même le plus blasé des geeks nostalgiques.
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