“Dans une lointaine dimension plus toute neuve...”
N’étant pas un gardien du temple de l’univers littéraire de Terry Pratchett dont est tiré cette série, j’ai abordé The Watch avec un état d’esprit vierge de toute attente particulière... et j’ai été plaisamment surpris !
Un peu à l’image de la série The Orville, The Watch n’a pas peur du ridicule ou de certains tabous et se sert du son cadre sci-fi/fantasy pour oser des choses qui se révèlent payantes la plupart du temps.
Comme il ne s’agit pas d’une super-production, les limitations se ressentent parfois à l’écran, que ça soit dans le nombre réduit de décors où les effets spéciaux un peu cheesy, mais la série le sait et le revendique presque.
On ne peut qu’espérer une deuxième saison encore plus punk et décallée, et avec un peu plus de budget.
PS : Mention spéciale à Richard Domer pour son interprétation du capitaine Sam Vimes, flic décrépi et désabusé dans un monde foutraque où le crime est devenu légal et régulé.