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« Je t'ai fait attendre ici trop longtemps, Yi-Jin. »

Tout au long des seize épisodes, la série semble se poser la question  : qu'est-ce qui est éternel  ? L'époque  ? Le bonheur  ? La rivalité  ? La tristesse  ? L'amour  ? Les souvenirs  ?

Ces questions, les scénaristes tentent de les explorer par le biais de ses personnages principaux  : Na Hee Do et Baek Yi Jin, deux personnes trahies par leur époque, que pratiquement tout oppose, qui vont vivre une histoire d'amour aux travers des années.

TFTO ne raconte pas l'amour qui débute, mais celui qui se termine. C'est l'histoire du passage à l'âge adulte d'une jeune femme par le biais de l'amour, la compétition et l'amitié.

Victimes de l'époque

L'un des aspects essentiels de ce drama est son ancrage dans le temps et son époque, non pas dans un trip nostalgique (incroyablement bien fait) à l'instar de la série Reply 1988, mais qui se cantonne à des références quasi-uniquement graphiques.

Dans TFTO, c'est une fresque qui nous est racontée, et les perturbations des époques jouent un bien plus grand rôle et cela dés le premier épisode. Les deux personnages sont pris dans la tourmente d'une crise économique et perdent chacun une part essentielle de leur être  : pour Hee Do sa possibilité de pratiquer l'escrime, et pour Yi Jin son statut social et économique. Cet événement, catalyseur de leur rencontre, gardera son importance jusqu'à la fin, avant que d'autres ne prennent le relais.

Les personnages ne sont pas isolés du monde, et les perturbations de ce dernier les affectent réellement, ce n'est pas pour rien que deux grosses catastrophes (une au début, une à la fin) vont avoir une grande influence sur Hee Do, Yi Jin et leur histoire, victimes fictives de crises réelles.

Différentes époques, différentes mœurs. L'accent est un peu moins mis là-dessus, mais la série fait également quelques commentaires sur comment l'avancée d'une ère peine parfois à se débarrasser des méthodes néfastes des précédentes  : on pense à l'intrigue sur la violence des professeurs, les accusations de corruption contre la prof d'escrime, mais également le sexisme dans l'entreprise par le personnage (très réussi) de la mère de Hee Do. L'histoire ne s'attardera pas non plus trop sur ces intrigues car il y a déjà beaucoup de choses à gérer, mais toutes les petites touches amenées ça et là sont parfaitement distillées pour le propos voulu  : la marche de l'histoire est inexorable, et si le changement d'époque peut se faire par le biais d'une catastrophe, il amène également du bon.

«  Trahie par l'époque  » cette sur très belle phrase prononcée par Na Hee Do au début du premier épisode que nous apprenons que cette dernière ne peut plus pratiquer l'escrime. Car oui, après le badminton de Racket Boys, c'est à nouveau un sport désuet (et qui ne coûte pas trop cher à produire) qui est au cœur de l'intrigue.

Escrime & rivalité : l'autre histoire d'amour de Na Hee Do

Plus précisément, c'est une moitié d'intrigue principal, car si la relation entre les deux tourtereaux est une des facettes du personnage de Na Hee Do, alors l'intrigue sportive couplée à sa relation de rivalité/amitié avec Ko Yu Rim représente assurément l'autre côté du personnage. C'est pourquoi cette intrigue prend tant de place et est traitée avec autant de sérieux.

Et forcé de constater que c'est assez brillant. Déjà au niveau réalisation et esthétique, on peut toujours compter sur les acteurs (ici actrices en l'occurrence) coréens pour arriver à nous faire croire qu'ils ont fait ça toute leur vie, mais aussi d'un point de vue du scénario, cette partie est essentielle pour construire le personnage de Hee Do, ce qui l'anime et la motive, notamment sa superbe relation avec Ko Yu Rim.

Si l'intrigue peut sembler au premier abord très clichée (les deux rivales qui deviennent amies), il est intéressant de voir comment cette relation entre les deux sportives est construite en opposé à celle de Hee Do et Yi Jin.

Au premier abord, nous avons en effet l'impression que les deux femmes sont dans une relation Yin/Yang, tout comme Yi Jin et Hee Do  : l'une est froide, parfois sarcastique et cruelle, et semble plus gracieuse et sur la défensive dans sa façon de se battre, alors qu'Hee Do est bruyante, expressive, honnête et chaleureuse et une force incroyable quand elle est dans ses duels.

Or, nous apprenons après un certain temps que les deux athlètes se ressemblent bien plus qu'on ne le croit  : ce qui apparaît comme une relation d'opposés se révèle, par le biais de leurs conversations cachées en ligne, être une relation fusionnelle entre deux personnes qui se ressemblent et se comprennent.

Et c'est l'une des raisons pour lesquelles l'amitié entre les deux filles ne fera que se renforcer au fur et à mesure de l'histoire, et ce malgré l'éloignement et les affrontements en direct dans les compétitions sportives  : elles sont âmes sœurs à leur façon.

D'ailleurs, après leur rapprochement, les scénaristes jouent bien avec les codes des dramas romantiques et comédies avec les deux personnages  : on retrouve les mêmes disputes, quiproquos et réconciliations (le «  first date  » quand elles mangent ensemble). Ce n'est pas un hasard, car si l'amour est un élément essentiel pour se construire, l'amitié l'est tout aussi.

Le personnage de Ko Yu Rim a une trajectoire très intéressante. Pour faire simple, Yu Rim aurait pu être l' héroïne d'un autre drama, qui aurait raconté autre chose  : c'est elle qui est considérée comme une surdouée de l'escrime, qui devient héroïne nationale et vit la plus grande histoire d'amour de la série, c'est également elle qui fait le grand sacrifice pour ses parents et prend la relève spirituelle de sa coach.

Mais voilà, TFTO n'est pas l'histoire d'un amour naissant, mais l'histoire d'un premier amour qui se termine, Yu Rim n'est pas l'héroïne flamboyante qui surmonte les difficultés de la vie pour gagner la sérénité et l'amour à la fin, elle «  n'est  que  » le deuxième amour de Hee Do, son but à atteindre et également celle qui partage avec elle le fardeau de leur situation. La scène de fin de leur dernier duel illustre bien à quel point ces personnages ont en commun, elles seules peuvent se comprendre.

Cast d'ensemble et souvenirs qui s'effacent

Si la relation amoureuse de Hee Do, ainsi que l'escrime sont les grands axes pour raconter le personnage, alors le cercle d'amis qui se forme vient compléter la grande triforce du scénario. TFTO est à son meilleur lors des scènes Hee Do/Yi Jin, Hee Do/Yu Rim, mais aussi les scènes d'ensemble où les trois protagonistes sont rejoints par Ji Seung-Wan et Moon Ji-Hung, les véritables personnages secondaires.

Les «  lycéens normaux  », l'une brillante et l'autre cancre sont très attachants et complètent extrêmement bien le trio de bras cassés des relations sociales que sont les personnages principaux. A première vue, Seung-Wan et Ji-Hung ont surtout une fonction de personnages secondaires un peu légers et comiques. Ce n'est qu'au fur et à mesure des épisodes que l'on découvre pourquoi les scénaristes les ont accolés à Na Hee Do   : la solitude de ces derniers résonnent en elle.

Ji-Hung est présenté comme un gars charismatique que l'école n'intéresse pas le moins du monde. Très flashy, son attitude je-m'en-foutiste et vantarde cache un gamin tourmenté par le divorce de ses parents, qui n'arrive pas à la hauteur des attentes de sa mère et beaucoup trop fantasque pour rentrer dans les cases du système très rigide coréen. Il a besoin de point d'ancrage à cause d'une vie beaucoup trop instable, d'où son amour inconditionnel pour Yu Rim et son amitié indéfectible avec Seung-Wan (sûrement une des plus belles amitiés dépeinte dans un drama).

Cette dernière quant à elle est bien plus à l'aise dans le système que lui. Elle est première partout, et tout aussi charismatique, le foyer dans lequel elle vit est stable (mais bien plus sombre qu'à première vue), cependant elle est victime d'une solitude et d'un ennui de la vie qui la rapproche de Yi Jin, car si elle n'a rien perdu et a tout son avenir devant elle, elle n'a pas encore trouvé comme lui quelque chose qui lui permettent de s'élever au-delà de ses amis.

J'ai apprécié le personnage de Ji-Hun ainsi que de la conclusion parfaite donnée à ce dernier (il devient l'un des premiers influenceurs coréens suite à la popularisation d'internet, hors du système, il s'épanouit), mais j'ai plus du mal avec le développement du personnage de Seung-Wan.

Je pense que c'est parce qu'elle est plus complexe à gérer que celui de Ji-Hun, qui est une sorte d'idiot un peu attachant, Seung-Wan ils ont semblé amorcer une réflexion autour du système, ainsi qu'une sorte de similarité et compréhension mutuelle avec Yi-Jin, mais ils n'ont jamais réussi à élever le personnage au-delà de la (très bonne) intrigue avec le professeur violent. Et sa conclusion, bien que très drôle reste... pour le moins étrange.

Critiques individuelles mises à part, ces deux personnages s'intègrent parfaitement au reste du cast pour former un «  ensemble  » très plaisant. Comme je le disais, la série est à son meilleur lors de ces grandes scènes d'ensemble où toutes les dynamiques jouent entre les personnages  : l'admiration de Ji-Hun pour Yi-Jin, les sourires de Seung-Wan et Hee-Do qui semblent trouver la vie et la lumière loin de leur solitude habituelle, et également Yi-Jin qui profite de ces moments pour oublier la dureté de sa situation.

Toutes ces scènes (dont le point culminant est le voyage à la mer de l'épisode 10) sont très bonnes, et participent à entretenir cette thématique du souvenir qui joue un rôle important dans la construction du message que veulent faire passer les scénaristes  : les souvenirs peuvent s'effacer oui, mais également se transmettre et se revivre. Ce n'est pas pour rien que la série se termine littéralement sur l'image de ce voyage qu'Hee Do prétend avoir oublié.

La déconstruction du drama romantique

Au centre des tourments des époques qui changent, de ces rivalités sportives, des amitiés naissantes et des faux voyages scolaires, l'amour de deux personnages différents et qui pourtant se complètent  : Na Hee Do et Baek Yi Jin.

Si la relation entre Hee Do et Yu Rim est une «  histoire d'amour de drama  » au sens classique du terme, alors celle entre Hee Do et Yi Jin est une sorte de déconstruction de ces mêmes histoires. Toutes les étapes sont là  : le début de la romance sur un hasard, l'amitié profonde qui évolue en amour intense, le premier baiser incongru et les montages touchants de couple.

Seulement, que se passe-t-il après  ? Après que la fille a obtenu le garçon dans la romcom étudiante? Que le premier baiser a été échangé et que le générique de fin a fini de dérouler  ?

TFTO prend le parti de nous montrer comment les gens peuvent changer et une relation se briser, sous le poids du temps, des obligations mais aussi... de l'époque.

Yi-Jin et Hee Do : le Yin et le Yang

Leur relation est fondée sur l'entraide et le soutien mutuel, alors que même leurs situations et personnalités ne pourraient être plus différentes. Ce qui n'est pas étonnant lorsque nous nous intéressons un peu aux personnages (j'en profite pour parler de la performance des acteurs principaux  : Kim Tae Rim et Nam Joo-Hyuk sont tout simplement au-dessus)  :

Na Hee Do est un personnage incroyablement positif, une battante déterminée, un brin naïve et maladroite dans ses relations sociales. C'est tout a fait cohérent avec son passé, son père est mort quand elle était toute jeune et c'est sa mère qui l'a élevée. Cette mère était froide, notamment sous le coup du deuil, mais aussi à cause de son choix de donner priorité à son travail dans un monde sexiste. Na Hee Do souffre donc de solitude, on peut l'apercevoir au début de la série où elle ne parle à personne sauf sa mère et son coach. Le personnage sort de l'ordinaire, car on pourrait penser qu'un personnage qui a baigné dans tant de solitude pourrait être quelqu'un de renfermé et de négatif, pourtant c'est bien elle qui tire la plupart de ses relations vers le haut. Son manque de soutien a créé une conviction chez elle que le partage implique également celui de la souffrance, car elle n'a jamais connu ça.

Pour Baek Yi Jin c'est l'opposé. Enfance parfaite, il a toujours été à l'aise dans les relations sociales. Il était guitariste et dans le club de radio au lycée, la série a déjà fait références à ses nombreuses conquêtes. C'est son monde qui s'effondre lorsque la crise économique ruine sa famille. Il est forcé de développer un grand sens des responsabilités, on peut imaginer que les scénaristes ont fait une allusion à «  sa vie d'avant  » en nous montrant ses fréquentations de l'époque  : des gosses de riches très superficiels qui ne se soucient que d'eux.

Cette maturation forcée a créé une instabilité chez Yi Jin, il se fond très bien dans son rôle d'adulte, cependant il reste brisé et fragile au fond de lui. D'où son attachement profond à Hee Do qui le soutien dés le départ dans toutes ces épreuves. De plus, le fait de redémarrer en bas de l'échelle créé chez lui une ambition sans mesure, et il ne lui faudra pas longtemps pour calquer son modèle sur celui de la mère de Hee Do. Enfin, on peut noter chez lui une propension à fuir dés que la situation devient trop compliquée. Il est un guide essentiel pour Na Hee Do, qui est un peu perdue dans ce monde politique sportif. Il la protège du monde qu'il sait bien trop hostile.

Les raisons de la rupture font que, comme bien souvent, ce qui rapproche au début finit par éloigner  : le besoin de partage de Hee Do se heurte au désir de fuite de Yi-Jin, de même l'ambition de ce dernier et sa relative fragilité l'empêchent de répondre au besoin de présence de Hee Do, qui refuse de revivre cette distance qu'elle a connu avec sa mère.

Comble de l'ironie, c'est encore une grande tragédie qui va précipiter un changement d'époque qui va sonner le début de la fin de leur relation  : l'attentat du 11 septembre 2001. Cet événement arrive en fin de saison comme un miroir narratif du premier épisode, et précipite les changements chez les deux personnages, les désirs se révèlent  : Yi-Jin n'est pas prêt à tout partager et sent en lui une ambition irrépressible et Hee Do n'est plus prête à subir une relation qui la laisse seule.

L'issue était, à posteriori, courue d'avance, et au crédit des scénaristes, ils ont anoncé la couleur dés le début de la série  : le nom de la petite fille n'est pas le même, Hee Do est mariée à quelqu'un d'autre et la série tire son titre d'une chanson qui parle d'une rupture.

C'est une prouesse d'avoir pu créer une romance qui a provoqué un tel espoir parmi les fans, qui montaient théories sur théories pour qu'ils finissent ensemble alors que les dés étaient jetés depuis le premier épisode.

Ils ont créé ces deux personnages incroyablement attachants, chacun à leur manière. Le couple formé par ces deux personnes semble totalement évident,l'alchimie entre les acteurs est incroyable et les scénaristes ont su construire les étapes de leurs relation avec soin, donnant envie aux spectateurs d'avoir une fin heureuse pour ces deux personnages.

Début et fin... à la sortie du tunnel

« Aujourd'hui... je te laisse partir en premier. »

Un mot sur l'importance de l'intrigue dans le présent. Si le choix d'une actrice différente pour jouer Na Hee Do à 40 ans est plutôt discutable, cette partie est essentielle pour boucler la boucle de cette relation. Dans le dernier épisode le journal de Hee Do complété par la réponse de Yi-Jin lui parvient enfin. C'est un moment absolument essentiel où enfin les deux personnages trouvent chacun la paix intérieur malgré le tumulte de la fin de relation. Hee Do traverse enfin le tunnel pour retrouver Yi Jin qui l'attendait à l'autre bout, en miroir par rapport à leur première scène de rupture où ils n'étaient pas en phase. Cette fois ils ont tous les deux pu se dire la vérité et acceptent la séparation tout en préservant le souvenir de leur amour.

Le propos sur le changement est vraiment important tout au long de la série et est notamment symbolisé par le tunnel devant lequel Hee Do et Yi-Jin se prêtent serment de se soutenir. Tout au long de la série, à chaque traversée de ce tunnel les personnages ne sont plus vraiment les mêmes. La relation de Hee Do et Yi-Jin évolue lorsqu'ils le traversent la première fois. De même, c'est qu'une fois la petite troupe réunie dans ce tunnel pour la première fois que cette amitié prend forme.

Le tunnel sert aussi à démontrer le décalage entre les personnages, c'est Hee Do qui attend Yi-Jin au bout pour le réconforter lorsque celui-ci se sent mal d'avoir dû parler de l'histoire de Yu Rim au journal. Et c'est tour à tour Hee Do et Yi-Jin qui s'attendent à l'autre bout du tunnel pendant leurs scènes de rupture, les personnages ne sont plus en phase, et ne peuvent plus traverser ce tunnel ensemble, ils ont changé chacun de leur côté. C'est pour ça que Hee Do, après avoir trouvé son journal revient à cet endroit précis, comme pour rejoindre enfin son souvenir, pour mieux le laisser partir... et se remémorer une dernière fois une des nombreuses cavalcade de ce groupe d'amis dans ce tunnel, à une époque éphémère où ils étaient tous insouciants et avançaient dans la même direction.

Tout au long des seize épisodes, la série semble se poser la question  : qu'est-ce qui est éternel  ?

L'époque  ? Elles changent. Le bonheur  ? Ephémère. La rivalité  ? Elles s'apaisent. La tristesse  ? Laisse place aux rires. L'amour  ? Se termine. Les souvenirs  ? Ils s'effacent.

Leur histoire.

Leur histoire est éternelle.

Rom
9
Écrit par

Créée

le 15 mars 2023

Critique lue 929 fois

1 j'aime

Rom

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Critique lue 929 fois

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