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Après 15 ans enfermé(e) dans un abri anti-atomique/un monastère himalayen où elle/il a développé une force surhumaine en tournant une manivelle/rendant visite à un dragon, Kimmy/Danny s'évade et squatte à New York chez un noir efféminé/une asiatique virile, sous l'ombre bienveillante et les conseils éclairés d'une vieille militante gauchiste/un vieux capitaliste sur le retour et cinglé(e).
Mais un(e) compagne/on de captivité désapprouve sa liberté nouvellement acquise, tandis qu'une autre ex-co-pensionnaire mexicaine/chinoise d'âge avancé, fait des commentaires acerbes sur leurs gesticulations en espagnol/chinois, alors qu'elle sait très bien parler anglais.
Mais au fil des épisodes, l'enthousiasme juvénile de la souriant(e) Kimmy/Danny aux goûts musicaux vintage (les Spice Girls?), s'érode sous le poids d'une colère trop longtemps réprimée, la/le poussant à des accès de rage incontrôlée.
Alors, que faire/fer ?
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleures séries comiques et Rise of the Mole Women - les séries sur les femmes qui sortent de leur trou
Créée
le 9 avr. 2017
Critique lue 394 fois
3 j'aime
2 commentaires
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