Les films les plus traumatisants selon Darevenin

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Quand les militaires se font dévorer vivants (certains crient encore même la gorge arrachée). Surtout le deuxième qui rit tout en se faisant croquer les doigts et le crâne l'orbite ouvert.

Puis voir les zombies faire leur pique-nique, c'est le comble qui provoqua littéralement une crise d'angoisse chez moi au point de prendre une pilule de Stressam. C'est vous dire le réalisme des effets spéciaux (malgré le fait que l'orbite ouvert et la tête arrachées sont très visiblement en caoutchouc).

Bref, même si ces militaires étaient d'immondes crevures insupportables, c'est un sort cruel que je ne souhaite à personne. Le maquilleur et responsables des effets spéciaux (Tom Savini ?) s'est inspiré de ses traumatismes de la Guerre du Vietnam pour ses scènes gores. Il a vu, vous verrez O_O'''''

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La scène après l'exorcisme quand Katherine voit son âme innocente emportée en enfer, tout ça parce qu'une AUTRE personne qu'elle a gaffé et malgré les efforts du camp de l'espoir et du bien pour la sauver de ses terribles souffrances. Surtout que c'est illustré par des images subliminales d'un démon gangréné essayant de traverser des murs comme si c'était de la chair, et avec des mains qui entraînent Katherine dans une eau noire comme pour la noyer et qu'on ne puisse jamais la retrouver.

Le choc m'a scotché sur mon siège, donner une angoisse existentielle et illustre un profond désespoir face à une injustice et une puissance surnaturelle malveillante. C'est aussi l'impunité dont bénéficie le démon qui laisse penser qu'il est plus puissant que Dieu ou l'Homme sur Terre, faisant de Dévotion le seul film de la saga où le Diable gagne à la fin.

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Le film qui montre comment le fascisme arrive à séduire certaines personnes, puis qui te fout la déprime avec The Trial.

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Quand les pillards se font dévorer des yeux jusqu'aux bras, arracher les membres et les nuques par les zombies gris/bleus.

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Quand les militaires se font arracher la tête et quand les civils se font dévorer.

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La scène où les invités de la fête se font dévorer.

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Dans la partie Les Cheveux Noirs, spoiler : le mari revient finalement vers sa 1ère femme. Mais quand il revient près d'elle dans son ancienne maison, il s'aperçoit que sa femme est en fait morte depuis des années et lui-même se met à vieillir en accéléré : ses dents tombent, sa peau devient grise, il perd ses cheveux, sa maison n'est que ruines et la chevelure de sa femme l'attaque.

Jamais plus je n'ai eu autant peur de vieillir et de me retrouver isolé avec ce segment de Kwaidan...

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Quand tu découvres la vérité sur Bob et sur la mort de Laura Palmer. Pas un film d'horreur, mais la façon dont s'est présenté m'a rempli d'effroi et rappelé Silent Hill 2 avec le boss "Abstract Daddy".

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Le cauchemar de Francis : Gregor Mendel, découvreur de la génétique, faisant danser des cadavres de chat les tripes à l'air (y en a beaucoup en dehors du cauchemar aussi).

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Voir une version gore et body horror de Garfield est à ce point malsain que s'en est traumatisant O_O'

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Pas si traumatisant que ça mais la vérité sur Niles et son jumeau Holland, bien que plus psychologique que surnaturelle a quand même de quoi donner de belles sueurs froides tellement elle semble une possession démoniaque venue de l'au-delà.

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Quand j'avais environ 6 ans, j'avais pas une bonne vue (sans avoir besoin de lunettes), je croyais alors lors de la scène du bar que les Gremlins étaient des chauve-souris géantes anthropophages.

C'était heureusement pas le cas, mais je me suis fait peur pour pas grand chose.

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Bien qu'étant le plus mauvais de la série, j'ai aussi eu du mal à continuer de voir le film après que le fils marin de l'héroïne se soit fait arracher le bras...

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Vu quand j'avais moins de 10 ans, j'aurais pas dû : la scène où une des femmes se fait sexuellement agresser puis étrangler avec une cadavre m'a traumatisé et empêché de voir la fin.

Je revois encore son expression d'étouffement et de terreur. Mais j'ai aujourd'hui enfin réussi à surmonter mon traumatisme car c'était au fond la seule scène effrayante du tas.