Les meilleurs albums de Neil Young selon Raider55

Annotation :

Cet album respire la liberté de penser, l'engagement politique et l'amour de son prochain.
Il est aussi l'incarnation de ce que les guitar heroes font de mieux : de longs solos intemporels.
Culte !
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/Everybody_Knows_This_Is_Nowhere/critique/228922055

Annotation :

Cet album est atypique dans l'oeuvre de Neil. Mais pour moi l'apport des musiciens du groupe Pearl Jam en fait un chef d'oeuvre entre grunge des années 90 et flowerpower des années 60 !
Ma critique enthousiaste : https://www.senscritique.com/album/Mirror_Ball/critique/227837067

Annotation :

Cristallin et magnifique. Le son et la voix de Neil Young ne sont jamais aussi beaux qu'en live, lorsqu'il est assis derrière son piano.
Ma critique sous charme : https://www.senscritique.com/album/Live_at_Massey_Hall_1971_Live/critique/232306806

Annotation :

Album folk de référence aux tubes portés par des mélodies simples et belles (Heart of gold, The needle and the damage done, Old man...)
Certes pas, mon opus préféré de Neil Young pour le rockeur que je suis. Mais sans doute le plus abouti.
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/Harvest/critique/214702825

Annotation :

Le must des Unplugged derrière celui de Nirvana.
Celui qui rappela à la génération née dans les années 70 à quel point le canadien a influencé les autres musiciens à cette époque.
Ma critique de la révélation qui m'a permis de découvrir intensément Neil Young : https://www.senscritique.com/album/Unplugged_Live/critique/214703950

Annotation :

Etrange et bel album, mi folk mi électrique. A l'arrivée un MYTHE pour le peuple Grunge...
Ma critique convaincue : https://www.senscritique.com/album/Rust_Never_Sleeps/critique/232305567

Annotation :

D'une certaine manière, l'opus préfigure "Harvest". Il propose des variations engagées des chants rock du Deep South américain. Une référence.
Ma critique convaincue (bis) : https://www.senscritique.com/album/After_the_Gold_Rush/critique/232174040

Annotation :

Prédécesseur de Zuma, l'album est emprunt d'un univers mélancolique sans être pour autant grave.
Pour moi pas le meilleur mais l'un des plus cohérents et aboutis.
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/On_the_Beach/critique/238854792

Annotation :

Album du "guitar hero" canadien par excellence avec notamment :
- des solos qui étendent 2 chansons (Danger bird et Cortez the killer) sur 7mn
- le son typique des guitares saturées du Crazy Horse.
L'album est cependant inégal tant au niveau de la voix de Neil (comme Tonight’s the Night) que de l'inspiration musicale (certaines phrases sont vues et archi revues)
Ma critique :
https://www.senscritique.com/album/Zuma/355982

Annotation :

Premier album (live) faisant partie de la "trilogie du fossé" ("Ditch Trilogy" avec "On the Beach" puis "Tonight's the Night").
La tournée est un concentré de péripéties qui permettent de comprendre ce tournant dans l'oeuvre de Neil : overdose de David Whitten (qui avait été renvoyé chez lui avant la tournée), demande d'augmentation salariale de son groupe au 1er jour de concert avec qui il ne s'entendra plus jamais, demande d'un son toujours plus "fort" et "électrique" (il joue avec une Flying V), refus de jouer sur scène Harvest et incompréhension du public, alcoolémie et fatigue extrême du canadien qui devra fait appel à Crosby et Nash pour l'accompagnement au chant...
Bref un mythe :
- pour le meilleur (l'énergie du désespoir et mon morceau préféré Last dance)
- et pour le pire (le son et la voix).

Annotation :

Album écrit dans la continuité musicale de "Mirror ball". Pour les fans du son des années 90.
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/Chrome_Dreams_II/critique/227836999

Annotation :

Prémisse de "Mirrorball" et achèvement de l'album live "Rust never sleeps". Pour les fans du son des années 90.
PS : Neil force un peu sur sa voix (et sans doute pas que...). Attention aux oreilles ^^
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/Ragged_Glory/critique/232060546

Annotation :

Le très prolifique Neil Young livre 2 albums en 1975 :
- le mythique Zuma
- l'inspiré mais si mal chanté Tonight's the night (dans un contexte du décès de 2 amis).
Avec quelques titres plein de sensibilité qui deviendront des standards à l'image de World on a String.

Annotation :

Séquence d'auto-revival country par Neil Young.
Avec quelques perles (From Hank to Hendrix) et de belles mélodies qui font référence depuis (Unknown legend, Harvest moon...).
Mais il semble être livré 20 ans trop tard car il s'interpose de manière impromptue entre Ragged Glory et Mirror Ball.

Annotation :

Etrange album écrit il y a plusieurs décennies.
Neil et son éditeur réouvrent les vieux tiroirs.
Pour les fans de la période Folk.
Ma critique : https://www.senscritique.com/album/Homegrown/critique/237780696

Annotation :

Bande originale du film Dead man, l'album est majoritairement composé de solos de guitare électrique, au son saturé et au rythme lent.
Chaque solo est composé comme des vagues faisant écho l'une à l'autre.
Beau et lancinant même si écouter les solos indépendamment du contexte atténue le plaisir.

Annotation :

Album live de Neil Young de 1976 avec ses plus grands chefs d'œuvre folk.
Joués d'une manière intimiste et fidèle aux enregistrements studio.

Annotation :

Un album acoustique de reprise de Neil. Once more... sans grand intérêt même si la prestation demeure belle.

Annotation :

Ma critique d'un Neil en bout de course en terme de Folk : https://www.senscritique.com/album/prairie_wind/critique/229471088

Annotation :

Album mineur des années 90.

Annotation :

Ma critique d'un album mi Blues, mi orchestral qui demeurera une expérience rare mais inaboutie : https://www.senscritique.com/album/storytone/critique/232130648

Annotation :

On retiendra un Neil en mission pour l'écologie (depuis toujours). Mais rien d'autre.
Ma critique dépitée : https://www.senscritique.com/album/fork_in_the_road/critique/232281825