Les meilleurs albums de The Cure selon Trelkovsky-

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The Cure parvient à transcender la dépression de son leader dans ce disque âpre, brûlant et sans concession mais finalement absolument bouleversant, dont les visions dépeintes ne sont pas loin d'évoquer les grandes heures de la poésie décadente.

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D'une noirceur abyssale, Faith est sans doute l'album le plus profond du groupe. Smith est au maximum de l'angoisse existentielle dans ce disque froid et vaporeux, tandis que Gallup y est au sommet de son art.

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Disque court, minimaliste, constitué d'accords et de rythmes tous plus simples les uns que les autres, Seventeen Seconds est pourtant l'un des albums les plus riches qui soient, tant musicalement qu'émotionnellement.

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Sous ses airs juvéniles et enjoués, ce disque contient déjà toutes les grandes composantes de l'œuvre du groupe : musique simple et précise, angoisse ambiante, et atmosphère doucement torturée.

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Le sommet du versant pop-rock du groupe, donc chaque morceau constitue un potentiel tube.

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Double album fou, créatif, mélodique et parfois presque expérimental. Certes inégal, mais extrêmement savoureux.

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Le dernier bon album de The Cure, dont les défauts se font de plus en plus ressentir : atmosphères lissées à l'extrême, romantisme parfois cliché et facile, titres inutilement longs virant au remplissage ... Heureusement, encore peu de morceaux sont concernés et le charme continue à opérer.

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Un album assez étrange dans la carrière du groupe, partant dans tous les sens et pourtant toujours cohérent.

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Cette compilation des singles (accompagnés de leur face B) publiés entre Pornography et The Top pourrait paraître presque anodine si elle ne contenait les deux chefs-d'œuvre que sont Juste One Kiss et Lament.

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Pompeux, longuet et morne : The Cure a trouvé son nouveau style, et n'est pas près le lâcher ...

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Un album qui donne envie de croire à un renouveau du groupe ... mais la réalité rattrape bien vite l'auditeur : morceaux étirés ad nauseam, ternes au possible, et plume de Smith peu inspirée ...

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Difficile de croire qu'un groupe qui eût une telle personnalité puisse produire un rock d'une telle banalité ...

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Le son curien peut se durcir en apparence, le manque de créativité reste très clair ; sans compter la présence de quelques titres insupportables ...

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Considéré comme le grand ratage du groupe, Wild Mood Swings n'a pourtant pas à rougir devant un 4:13 Dream ou un The Cure ; ceci dit, son caractère totalement insipide a tendance à le rendre presque détestable ...