Les meilleurs documentaires selon limma

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Didactique et peu formateur pour ceux qui s'y intéressent déjà et à destination des plus jeunes très certainement. On peut regretter qu'il n'y soit pas question d'aider les populations du sud et de réduire la démographie qui reste un des problèmes majeurs en lien avec le réchauffement climatique. On sait tous aujourd'hui qu'il ne dépend que de nous pour se reconnecter à la nature et aux animaux en commençant par manger moins de viande.

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Quelle déception de tout ce melting pot bien peu compréhensible avec quelques images d'un homme regardant au loin, l'air vague. On pourra noter en tout cas que les journalistes TV d'aujourd'hui n'ont rien à envier à ceux d'hier.

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Une belle histoire d'amour entre deux personnes et surtout pour l'environnement, dommage que l'on ne cerne pas mieux l'ampleur de la tâche au profit du portrait.

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bon un panorama de 40mn bien trop rapide, la thanatopraxie ne sera qu'effleurée sans doute pour éviter de choquer le public. L'intervention de Frantz Catarelli et les explications sont intéressantes mais le peu en est frustrant. Un petit tour alentour (métiers des pompes funèbres et du marbrier) et une touche d'humour accessoire mais on le suppose pour éviter de plomber par le sujet. On est quand même loin du documentaire fouillé et travaillé. Pour des informations sur le parcours du Thanatopracteur, on ira voir ailleurs, sur youtube pour une interview finalement bien plus parlante de Catarelli.
https://youtu.be/3cjaqAQL4oE

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parfait, quelle fluidité dans son tour du monde aquatique, entre course à pied et pied de nez à la pesanteur, escalade et chute à l'envers, profondeur et petitesse, que de belles images.

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La bonne idée de ne pas insister sur les images bien difficiles à regarder allant du monde sauvage à nos animaux domestiques, de pays lointains ou plus proches de nous, pas de quartier pour démontrer l'horreur de ce que l'être humain est capable de faire et à sa propre espèce aussi.
un portrait plutôt large que ciblé, mais un rappel pour tout ceux qui ne sont pas capable d'empathie ou de tout simplement savoir mettre un frein à l'élevage intensif. et à des besoins superflus et égoïstes. Le documentaire dure 56 mn ensuite nous avons un retour sur image de quelques scènes déjà vues sur la suite. Peut se voir sur youtube gratuitement.

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Avec Les fils de la terre, Edouard Bergeon fait le parallèle entre le portrait de Sébastien Atard, producteur de lait, en prise avec sa vision du monde agricole, de l'économie et des pressions familiales, avec sa propre histoire familiale et du suicide par extrême lassitude de son père Christian Bergeon.
Edouard Bergeon traite d'un sujet d'importance. Avec Au nom de la Terre, si la fiction permet de s'intéresser plus facilement au sujet, elle évite pourtant de s'attarder sur un environnement plus large du monde de l'agriculture, s'attachant à un portrait familial aux difficultés de communication grandissantes. En survolant les enjeux et les freins à la production, les évolutions de l'agriculture, la dictature bancaire ou encore la mise en avant des responsabilités et de ce que l'on peut en attendre de la justice, c'est en même temps la parfaite métaphore de l'invisibilité au monde de ces agriculteurs.
C'est donc l'histoire de tous les agriculteurs en prise avec une production payée au rabais. Dépression, soutien médicamenteux, tentative de suicide, la famille Atard est bien proche de celle de Bergeon, mais n'évite pas un certain surjeu, d'autant plus étonnant qu'il s'agit d'un documentaire, tout en entrecoupant des passages de la vie de Christian Bergeon et des sentiments du cinéaste, qui les deux réunis, procurent un sentiment de malaise diffus et parfois déplaisant.
L'intérêt viendra dès le dernier tiers où le voyeurisme et l'aspect déprimant laisseront place aux dialogues, aux questionnements, aux remises en question, avec la création d'une coopérative laitière et de l'affranchissement de la grande distribution.
Un retour plus optimiste sur un avenir pourtant bien flou.

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ce documentaire de mémoires de palestiniens chassés et spoliés de leur terre en 1948, à destination de la jeunesse israélienne appuie sur le traumatisme du peuple arabe. Fort d'images et de paradis perdus, la volonté de rendre compte et de faire réfléchir.à la nécessité du vivre ensemble, donne des échanges assez marqués de part et d'autre. Mais il manquera un vrai fil conducteur et la légitimité d'une telle action, qui semble s'être arrêtée à quelques interviews sans autre enjeu que de questionner une jeunesse, bien peu instruite sur l'histoire de son pays.

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Le metteur en scène tente de confronter bourreaux et victimes dans un échange pour la compréhension de l'indicible. Malgré le courage et l'intérêt d'une telle direction pour ce documentaire, l'exercice dérange par ses fautes de goûts et son voyeurisme sordide et le manque d'enjeu qui en ressort. Un dialogue de sourds où les mots semblent glisser sans accroche. Les répétitions avec des bourreaux qui rejouent leur rôle avec une facilité déconcertante, comment les victimes pourraient-elles tenter de pardonner des hommes qui ne font preuve d'aucun remords mais surtout de vraie réflexion. L'endoctrinement si il est évident, lié à la peur notamment, la prise de conscience aujourd'hui semble absente et l'exercice vain si ce n'est de vérifier le nombre de victimes et les exactions commises dans le déni le plus total.

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Un bon rappel plus condensé et plus explicatif après avoir vu la série Chernobyl...mais encore une fois une restriction sur l'ampleur et les conséquences pour la population en particulier.

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en complément de
https://www.senscritique.com/livre/Le_tigre/7938002

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On apprendra finalement pas grand chose pour celui qui s'intéresse déjà à l'environnement. On vérifie par contre encore une fois, que les médias et les journalistes détournent continuellement l'information. A part une certaine confiance que l'on accordera aux seuls scientifiques, le reste ne semble guère crédible. A chacun de faire et à tous de se mobiliser, mais cela on le sait aussi depuis longtemps. C'est toujours nécessaire de répéter. (?)

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Dans ce documentaire, Michael Moore va envahir le monde pour déterminer ce que les États-Unis peuvent apprendre des autres pays. De tous ces pays à l'idéal "idéalisé" pourtant documenté , il oppose l'Amérique libérale et conservatrice. L’Europe idyllique et les Etats-Unis en filigrane. La nourriture, le travail et le partage des profits, des prisons dorées, ou encore la place des femmes pour un monde meilleur...De bons moments, de beaux échanges et Moore toujours en grande forme. Un docu bien plus léger qu'à l'accoutumée. Malheureusement l'Europe se rapproche maintenant du modèle décrié.A voir donc cet essai comme une légère parodie, fantasmée mais teintée d'humanisme.

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Voici en complément un excellent entretien avec Christophe de Ponfilly, en 2001.

https://youtu.be/KAwvxfXW1IA

De sa rencontre avec Massoud et de ses 20 années d'investissement pour la cause, il retrace les moments forts du commandant de l'alliance du nord. Une clarté de langage, une voix de conteur, où se ressent la déception de C. de Ponfilly. qui a oeuvré au fil de sa vie à essayer de faire valoir la cause de Massoud pour la liberté par ses multiples documentaires.

Condensé, clair et informatif, pour ceux qui ne connaissent pas une bonne entrée en matière avant de voir également les deux documentaires :

"Une vallée contre un empire" qui traite de la guerre avec la Russie fin des années 70 début 80.
et
"Massoud l'Afghan" 1998 (à la suite de l'échec de la prise de Kaboul en 1992 et de son manque de soutien). C. de Ponfilly décidera de retourner en Afghanistan faire un ultime film et tenter de réveiller les consciences.

https://youtu.be/e3zt3DKasPI

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Massoud à 28 ans, qui souhaitait être architecte et qui prendra les armes. Humain et solidaire pour un combat qui n'en finira plus.

En décembre 1979, les troupes soviétiques entrent en Afghanistan. Une résistance afghane qui deviendra légendaire, faite de paysans, de jeunes étudiants, de religieux.
Entre bricolage et récupération d'armes laissées par les soviétiques, Massoud formera son armée et mènera la guerre 10 années durant.

https://youtu.be/IaFg6bpzvZ0

Annotation :

https://youtu.be/c9Lzz0HIuEI
je rajoute un lien de Magyalmar
https://www.youtube.com/watch?v=KtMey-dcGPE

Annotation :

Pour ce portrait d'Albert Camus, l'auteur, Cécile Clairval, a choisi une approche en regards croisés, ceux de ses confrères, de ses familiers, de ses compagnons de résistance. Elle retrace pour nous la vie de l'auteur et les principaux thèmes de son œuvre : la Méditerranée et l'amour de la nature, le divorce entre l'homme et le monde, le révolte contre l'oppression et la revendication de liberté.

https://youtu.be/8DwkC1vvV-Q


Deux autres esprits clairs et concis pour un plaisir d'écoute :

SARTRE

https://youtu.be/4i1frEtJi50


MALRAUX

https://youtu.be/sUS8cp8CbKM

Annotation :

Des documents d'archives, des photos, des citations, et de témoignages pour une longue vie de profond respect et d'amitié. On y parle de drogue, de guerre, de théâtre et de cinéma pour une période qui n'a pas été facile ni pour la création ni pour ce couple "mythique"...

https://www.youtube.com/watch?v=_M2tf2PBd7o