Les meilleurs films de huis clos selon abscondita

Annotation :

12 membre d'un jury sont enfermés pour délibérer sur le sort d'un homme âgé de 18 ans accusé de parricide.

Annotation :

Quasi huis-clos dans un sous-marin allemand pendant la seconde guerre mondiale

Annotation :

Huis-clos d'un appartement où un homme qui s'est cassé la jambe se trouve confiné.

Annotation :

Un braquage de banque tourne mal. Le braqueur prend en otage les personnes sur place afin de pouvoir négocier avec la police et le FBI qui assiègent la banque.

Annotation :

Huis-clos dans un train. Histoire de science-fiction.

Annotation :

Le huis-clos d'une station en Antarctique.

Annotation :

Huis-clos dans un pensionnat de jeunes filles sudistes, durant la guerre de Sécession.

Annotation :

Huis-clos dans le contexte d'une enquête policière.

Annotation :

Le huis-clos de la prison

Annotation :

Une journée passée ensemble dans les appartements respectifs d'une femme mère de famille nombreuse et d'un homme homosexuel.

Annotation :

Huis-clos d'un tribunal religieux

Dans cette configuration-là, un huis-clos ayant pour sujet un procès, les deux réalisateurs ne souhaitaient pas se positionner comme des observateurs qui assistent à un fait de justice mais plutôt retranscrire à l'écran le point de vue de leurs personnages : "La caméra est toujours positionnée du point de vue d’un des personnages, qui regarde un autre personnage. Celui qui n’est pas regardé n’est pas visible. Nous, les réalisateurs, nous ne racontons pas notre histoire en imposant un point de vue unique sur l’histoire, mais par le prisme varié des personnes présentes dans l’espace devant nous. Un point de vue subjectif dans un lieu supposé objectif."

Annotation :

Huis-clos d'un tank durant la guerre du Liban

"Je venais d'avoir 19 ans en mai 1982. La vie était belle. J'étais amoureux. Ensuite on m'a demandé de partir sur une base militaire et d'être le tireur du premier tank à traverser la frontière libanaise. Cela devait être une mission d'une journée toute simple mais ce fut une journée en enfer. Je n'avais jamais tué quelqu'un avant cette terrible journée. Je suis devenu une vraie machine à tuer. Quelque chose là-bas est mort en moi. Sortir ce tank de ma tête m'a pris plus de 20 ans. C'est mon histoire."

"Le spectateur ne devait pas regarder une intrigue se déroulant devant ses yeux mais bien l'expérimenter, la vivre avec les acteurs. Le public ne recevrait pas d'informations supplémentaires et resterait coincé avec les acteurs dans le tank, aurait la même vue limitée de la guerre et n'entendrait que ce que les acteurs entendent. Nous avons essayé de faire en sorte que les spectateurs puissent sentir mais aussi goûter la guerre, en utilisant les effets visuels et sonores pour faire plus que raconter une histoire. J'ai réalisé que nous devions concevoir le film comme une véritable expérience pour le public pour réussir à ce que la compréhension émotionnelle soit complète."

"Je respecte ceux qui ne supportent pas mon film. Ce n'est pas un divertissement, et je ne m'attends pas à une réception unanime. J'espère seulement que, pour un spectateur qui n'aimera pas mon film, cinq le comprendront et le ressentiront. Mais la guerre est comme cela, même plus difficile que cela, évidemment... On a sans cesse l'impression de pouvoir y passer. Bien sûr, il fallait que je sois plus "propre" pour que le film soit visible. Si j'avais reconstitué la réalité de la guerre vue depuis un tank, comme je l'ai vécue, le film n'aurait tout simplement pas été visible. Là, c'est une vérité possible : créer une forme qui puisse faire ressentir la réalité de la guerre."

(Samuel Maoz)

Annotation :

Huis-clos dans un train.

Annotation :

Tiré d'une histoire vraie, cette histoire raconte comment des soldats britanniques et germaniques se sont retrouvés coincés ensemble dans une cabane paumée en plein milieu des montagnes norvégiennes et comment ils ont dû cohabiter pour survivre.

Annotation :

Le film se déroule entièrement dans un appartement lors d'une soirée très particulière...

Annotation :

Le coup de bourre un vendredi avant Noël dans un restaurant. Film tourné en un seul plan séquence.

Annotation :

Un huis-clos horrifique

Annotation :

Huis-clos intense dans un relais de diligence.

Annotation :

L'intrigue prend place dans une station essence multiservice du Parc national de Petrified Forest dans l'Arizona. Les personnages les plus pittoresques se retrouvent et enchaînent des dialogues où la réflexion et l'humour cohabitent de façon équilibrée.

Annotation :

Huis-clos dans les bureaux gouvernementaux et une base militaire.

Annotation :

Huis-clos dans un vaisseau spatial en route vers le soleil

Annotation :

Huis-clos dans un taxi

Annotation :

Florian Zeller a voulu faire de l’appartement un personnage à part entière de The Father. Le metteur en scène précise : "En général, quand on adapte une pièce au cinéma, la première tentation est toujours d’écrire de nouvelles scènes, d’ouvrir vers l’extérieur, pour s’éloigner autant que possible du dispositif théâtral. Mais dans ce cas précis, j’ai décidé de ne pas le faire. De rester tout le temps dans le même espace. Afin que cet espace devienne un espace mental, mais en perpétuelle transformation..."

Annotation :

Un huis-clos dans un vieux manoir écossais, théâtre de meurtres en série.

Annotation :

Un quasi huis-clos qui met face à face le général nazi Dietrich von Choltitz, ayant reçu l'ordre d'Hitler de détruire Paris et le consul suédois Raoul Nordling, tentant de l'en dissuader. Le long face à face à lieu dans l'hôtel parisien Meurice. Le consul suédois a effectivement rencontré Choltitz, il aurait exposé au général von Choltitz l'inutilité et l'inhumanité de son acte, mais on ne connaît pas la teneur des propos échangés.

Annotation :

Un huis-clos familial

Annotation :

Un huis-clos en extérieur dans une villa luxueuse de la côte d'Azur

Annotation :

Huis-clos dans un fort de l'ouest américain

Annotation :

Huis-clos dans un commissariat en voie d'être désaffecté et pris d'assaut.