Les meilleurs jeux Assassin's Creed selon Death Watch

Annotation :

L'épisode le moins manichéen de la saga.

Autrefois, le conflit Assassins/Templiers demeurait très simpliste, il était une simple représentation du bien et du mal, de la liberté et de la tyrannie.

Assassin's Creed III tua brillamment cet aspect manichéen en présentant des Templiers capables de justifier leur cause et leurs actes au point de se demander : sommes-nous dans le bon camp?

Annotation :

L'épisode qui reprend entièrement les bonnes qualités de son prédécesseur en y ajoutant ses propres améliorations. Notamment, un réel sentiment d'appartenance à une Confrérie.

Annotation :

L'épisode qui a rendu possible toute cette renommée, simplement.

Annotation :

Véritable innovation à son époque, car même si Assassin's Creed premier du nom possédait de nombreuses faiblesses et notamment dans le domaine de la narration, il a aussi révolutionné le jeu vidéo avec son parkour unique.

Annotation :

Allure de spin-off, Black Flag demeure pourtant l'Assassin's Creed le plus neutre de la saga.

Si ses plages et cette liberté constante ont été les premières qualités reconnues, il se trouve que cet épisode permet également d'avoir un point de vue extérieure de la guerre Assassins/Templiers via Edward Kenway et sa philosophie de la vie.

Annotation :

Point particulier pour cet épisode : Il s'agit certainement d'un des jeux les plus buggés de l'histoire et la qualité du titre n'a pas pu être que constatée qu'après une période post-bug.

Assassin's Creed Unity malgré son scénario soporifique et son intérêt limité pour l'arc du Présent, demeure l'épisode qui correspond le plus à l'esprit de la licence en terme de gameplay. Le parkour y est fluide et spectaculaire, tandis que l'arrivée d'une infiltration digne de ce nom permet de vraiment se sentir comme une lame silencieuse dans la foule, un vrai Assassin.

Annotation :

L'épisode typique que l'on peut qualifier de bon jeu, mais de mauvais Assassin's Creed.

Censé narrer les origines de la Confrérie des Assassins, Origins se contente malheureusement de brouiller le lore avec quelques incohérences. On ne lui reprochera pas cependant de posséder la meilleure ambiance de la licence avec son Égypte Antique.

Annotation :

Assassin's Creed Rogue est sans doute passé trop inaperçu en restant dans l'ombre de Unity sorti la même année. Pourtant, incarner un Templier demeure une nouveauté alléchante et nous permet, tout comme Assassin's Creed III, de tuer l'aspect manichéen de la saga.

Annotation :

L'épisode de trop sans doute. Une troisième et dernière aventure avec Ezio qui sent énormément le réchauffé, mais qui permet d'apporter la fin la plus émouvante de la saga.

Annotation :

Assassin's Creed Syndicate est le mal-aimé de la licence. Pourtant, même s'il débarque dans une période de critique rude mais juste envers la licence après un Unity très buggé, il est aussi l'épisode qui corrige les tares de ce dernier.