44/876 est l’histoire d’une belle rencontre, celle de Gordon Summer alias Sting et Orville Richard Burrell alias Shaggy. Cette belle rencontre est à l’initiative de Martin Kierszenbaum, manager de Sting et qui travaille avec Shaggy. Ce même Kierszenbaum à la bonne idée de faire écouter les premières pistes de l’album de Shaggy. Sting a toujours une appétence pour le reggae En 1979, alors leader du groupe Police, Sting sortait Reggatta de Blanc, un second album aux fortes influences jamaïcaines.
À l’écoute de ce futur album, Sting part à sa rencontre pour proposer de chanter en duo. L’entente est parfaite et très vite est enregistré le single Don,’t make me wait. Le duo décide de ne pas s’arrêter là et finalement l’album 44/876 est bouclé en six mois.
L’alchimie est parfaite entre reggae, pop et dance. Un album qui donne envie dès sa première écoute de se lever et d’entamer quelques pas de danse dans son salon.
Le single Don’t Make Me Wait est un carton Dance Floor, Dreaming In The USA rappelle les meilleures productions de Sting.
Un album surprenant mais réussi.
L’album dont le monde a besoin selon Shaggy, et nous partageons cette idée.