Pompeux. Ecoeurant. Prétentieux. Mais tellement grand.
Un album immense, un double album immense. Inégal mais splendide.
Ouverture cinématographique sur le mirceau éponyme qui annonce la couleur. Un album pessimiste. Triste.
Puis les morceaux s'enchainent. 15 aout, puis le majestueux Padam...
Ton héritage, est à mes yeux une belle chanson. Belle sans plus. Seul "sans viser personne" sor du lot de ce premier cd.
Mais mettons le second.
Je ne dévelloperai pas plus, à vous d'écouter, je vais juste m'arrêter sur le faux dernier morceau: 15 Septembre.
Surement la plus belle chanson de Biolay, avec ce dernier couplet, reprenant "La Superbe" qui donne à cet album toute sa splendeur.
On reste dieu merci...
Et enfin l'autre morceaux exceptionel de Biolay "les grands esembles" chroniques de la vie des immeubles, chroniques de l'ennui, des banlieues. Un peu comme les suburbs d'Arcade Fire.
Un an. Cela fait un an que j'ai découvert cet album et depuis il me hante. Un an où je l'écoute parfois plusieurs fois par semaine.
Pourquoi?
Une poignée de morceaux immense, disséminés au milieux d'autres morceaux bons, mais sans plus, font de La Superbe, un album à part. Sur une autre planète, celle de la mélancholie.