Si j'ai eu envie d'écouter Lazaretto en particulier, c'est parce que lorsque l'album est sorti en vinyle, ça avait fait beaucoup de bruit. En effet Jack White avait eu la brillante idée de mettre un morceau caché sur le vinyle et aussi de presser deux titres "l'un sur l'autre" ce qui fait que selon où on va placer le diamant sur la piste on va tomber sur une version acoustique d'un morceau ou bien sa version finale.
Bon, pour ma part, c'est la version disponible en streaming que j'ai écouté. Et c'est vraiment dans la continuité de ce que faisaient les White Stripes, mais sans la batterie de Meg. C'est plutôt cool à écouter, ça passe le temps, j'ai même eu l'impression d'entendre des influences des Stones, mais c'est peut-être parce que je découvre leur discographie en ce moment et que ça me pollue les oreilles, je n'en sais trop rien.
Mais en tout cas c'est bien arrangé, bien produit. Il y a ce son de piano un peu à l'ancienne, cette Fuzz sur la guitare typique des White Stripes sur quelques morceaux, on sent que le chanteur s'est amusé. Ce n'est juste pas un grand album à mon goût... La pochette est quand même classe.