...Like Clockwork par Kirisame
O.M.G. Cet album.
Autant le dire tout de suite, je ne suis pas une fan de la première heure de QOTSA. Je connaissais quelques morceaux populaires, qu'on a tous entendus en soirée au moins une fois, mais j'étais pas plus fan que ça j'avais jamais creusé. Je suis allée au concert de 2011 pour l'anniversaire de leur premier album, et sans dire que ce fut un déclic, ça m'a permis d'aller creuser un peu. Donc entre mai 2011 et aujourd'hui, j'ai eu le temps d'apprécier... Et d'avoir des attentes sur l'album suivant !
Les attentes, parlons-en : elles étaient élevées, et pour cause, une fine équipe a été réunie. Les fans parlaient d'un "Song for the dead" bis, et autres suppositions enthousiastes... A vrai dire, "...Like Clockwork" n'a rien d'un SFTD bis, si ce n'est la cover rouge.
On avait déjà entendu pas mal de morceaux issus de l'album avant sa sortie, grâce aux clips vidéos lâchés par le groupe. A ce moment, ma préférence allait à "I Appear Missing", autant pour la mélodie, les paroles, le background... Cette chanson était parfaite et me tirait les larmes.
Mais l'album recèle d'autres surprises : "Vampyre of time and memory" est un véritable bijou, "Like Clockwork" me file les pwals...
Côté chansons qui remuent bien, on est servis aussi : "My God is the Sun" est une bombe qui dépote sa race en concert (j'ai encore des bleus à a hanche du Trianon), "Smooth Sailing" me donne envie de danser de manière incontrôlée, et on a Fairweather Friends qui est un chef d'oeuvre... La guitare de I Sat by the Ocean me rend tout mélancolique, je pense que c'est une de mes favorites de l'album pour ça.
Bref même si je n'ai pas fait le tour de tous les morceaux, à mon sens il y'a rien à jeter de cet album, qui a une cohérence incroyable, quand on creuse un peu sur le contexte de son écriture. C'est aussi un album un peu plus varié et pourtant moins inégal que Era Vulgaris, à mon goût toujours.
J'ai pris le pied de ma vie au Trianon le 19 juin, j'y retourne évidemment en novembre au Zénith, et ça va être la guerre, comme on l'aime !