Vive la campagne ?
Si le chiffre 23 est souvent associé à Michael Jordan (voire à LeBron James) il renvoie ici au nombre de récits de Yoshihiro Tatsumi présent dans ce premier volume d’une anthologie consacrée à...
Par
le 7 sept. 2024
1 j'aime
Ce qui m'a séduit et motivé un coeur pour ce livre, c'est la méthode de narration plutôt fragmentée. On nous fait la description de la ville par de courtes histoires, on la saisit globalement mais elle nous échappe sur certains points, il y a toujours des zones d'ombres. On découvre la ville par ses artères, ses articulations, ses intestins. On est dedans, du coup on a qu'une vision fragmentée et une idée vague de la ville dans sa globalité.
Les personnages qu'on suit ont presque tous le même physique. Je suppose que c'est l'auteur qui se représente ou chaipakoi. Je trouve ça malin, ça fait un peu le bouc émissaire de base, sur qui tous les malheurs tombent, et ça intensifie le tragique global qui transpire dans cet album.
Ouais, c'est un bouquin très noir et les premières planches de chaque histoire sont super belles et plantent le décor assez délicatement.
Voilà, bisous !
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Top 10 BD
Créée
le 13 avr. 2018
Critique lue 210 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Cette ville te tuera
Si le chiffre 23 est souvent associé à Michael Jordan (voire à LeBron James) il renvoie ici au nombre de récits de Yoshihiro Tatsumi présent dans ce premier volume d’une anthologie consacrée à...
Par
le 7 sept. 2024
1 j'aime
Ce qui m'a séduit et motivé un coeur pour ce livre, c'est la méthode de narration plutôt fragmentée. On nous fait la description de la ville par de courtes histoires, on la saisit globalement mais...
Par
le 13 avr. 2018
1 j'aime
Cette ville te tuera est le premier recueil d'histoires courtes sur cinq de l'anthologie que Cornélius consacre au légendaire Yoshihiro Tatsumi (1935-2015), père illustre du gekiga. Celui-ci propose...
Par
le 5 juil. 2024
Du même critique
Un faux-cil collé sur un morceau de béton après une soirée, et Goblin et Dong et sa copine qui discutent sur le trottoir. Iels parlent de sexe, qu'elle n'a jamais eu d'orgasme et Dong ivre explique...
Par
le 25 nov. 2020
3 j'aime
1
Ouais alors bon l'édition est pas ouf, les onomatopées originales remplacées par des françaises c'est chaud quand même. Ayant ça en tête, je ne sais pas si il y a des soucis de traductions ou si le...
Par
le 14 févr. 2021
2 j'aime
Alala y sont trop mignons les adolescents là, déjà les intertitres qui m'envoient des vibes d'Ozu dans la tronche c'est comme recevoir du gros amour direct dans le ventre. Et puis l'été infini...
Par
le 20 nov. 2020
2 j'aime