Suite à un pari avec son beau-frère lutécien, après avoir passablement bu, et après qu'ils aient réciproquement vanté les avantages comparatifs de Lutèce et l'Armor, Abraracourcix émet le pari de le recevoir en lui servant de la viande garnie aux lauriers de César.
Suite à cette bravade plutôt basse de plafond, Astérix et Obélix se rendent à Rome, essaient de devenir les esclaves de César, et de l'approcher par tous moyens pour arriver à leur fin, lui subtiliser ses lauriers, pour honorer la parole du chef de leur village.
Certes, il y a certains moments savoureux, mais l'intrigue est assez faiblarde, et la fin est assez franchement décevante.
Relativement agréable à lire, somme toute, mais pas l'un des meilleurs.