Chronique complète :
https://sunread26.wordpress.com/2023/06/29/no-guns-life-tome-1/
Extrait :
Premier tome pour cette nouvelle série, j’avais acheté quelques tomes d’occasions par curiosité, je commence enfin à lire. Elle est d’ailleurs terminée en 13 volumes et édité aux éditions Kana. Il y a même une promotion avec les deux premiers tomes pour le prix d’un, de quoi découvrir la série tranquillement. Il faut avouer que la couverture fait quand même un peu envie.
La couverture est assez simple dans sa disposition, mais ce qui interpelle surtout, c’est le design du personnage qu’elle met en avant. Il s’agit ici de l’un des protagonistes, Jûzô Inui, un ancien soldat modifié pour la grande guerre. Il s’agit d’un ancien modèle, d’un retraité de guerre, qui gère désormais des affaires en lien avec les Extends, les êtres, qui comme lui, ont été modifiés. Sa tête est littéralement un revolver, toutefois, même s’il peut tirer des balles avec, il faut que ce soit quelqu’un d’autre qui actionne la gâchette, il ne peut le faire de lui-même. Comme il n’a plus de partenaire depuis longtemps, il n’utilise donc plus cette fonction, il semblerait qu’il est même horreur qu’on lui touche la gâchette.
Jûzô est très clairement un personnage au passé douloureux, impossible de déterminer son âge que ce soit par les événements décris ou pas son apparence. En tout cas, s’il avait un visage, il aurait sûrement un air blasé par la vie. Il l’indique lui-même rien ne lui donne envie de se battre pour sa vie, pourtant, il refuse de mourir et semble tout faire pour survivre, un comportement digne d’un humain souhaitant vivre sans le savoir. On en apprend assez peu au sujet de son passé, ce qui rend aussi le personnage assez mystérieux, à cela s’ajoute qu’il n’a aucun souvenir d’avant ses modifications physiques. Chose intéressante, la cigarette est un élément à part entière du récit, dans le sens, où celle-ci est nécessaire pour les Extends, afin de garder une certaine autonomie. Est-ce une petite astuce pour ne pas se faire censurer ?
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