On ne change pas une recette qui marche ! Dans la grande lignée des films animaliers du début des années 60, Disney persiste et signe avec cette comédie, un film familial ponctué de gags en tout genre.
Le film met en scène un couple d’américain moyen, les Garrison possèdent une chienne teckel qui vient de donner naissance à 3 chiots. Le mari revient de chez le vétérinaire avec non pas 3 mais 4 chiots. Quelle ne sera pas la surprise lorsque son épouse va découvrir que le 4ème chiot n’est pas un teckel mais… un dogue allemand (plus communément appelé Danois).
On vous laisse imaginer la pagaille que cela peut donner, d’avoir 3 teckels de 10kg chacun et un Danois de 60 à 90kg qui déambulent et mettent le foutoir dans le pavillon… Les gags se suivent et se ressemblent, les catastrophes toutes plus inventives et burlesques s’enchaînent (la séquence des pelotes de laine dans le salon en passant par l’atelier d’artiste où la peinture coule à flot…).
4 Bassets pour 1 Danois (1967) accuse certes le poids des années (tourné en transparence et intégralement en studio), mais le film de Norman Tokar n’en reste pas moins divertissant et drôle. Et on ne boude pas notre plaisir d’y retrouver dans le rôle principale Dean Jones (L'Espion aux pattes de velours - 1965 & Un amour de Coccinelle - 1968).
(critique rédigée en 2009, réactualisée en 2020)
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