Salaud, on t'aime par Anaïs Lefaucheux
Première partie de film accablante de niaiserie, de bons sentiments, de clichés, de surjeu, on n'y croit pas une seconde à ces bons sentiments, à ces phrases toutes faites...Restent les paysages sublimes qui lui servent de cadre et qui sont un enchantement pour le spectateur qui baille.
Puis, le film prend soudain une autre tournure, plus noire, plus glauque, se transformant soudain en un film policier haletant, pris dans les neiges de l'hiver....Lelouch sait mêler les genres, et je garderai en tête ce final si poétique, si gracieux et si joyeux, qui donne une touche de légèreté à cette oeuvre si personnelle.
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