Réalisé par Freeman en numérique sphérique avec un petit budget, dédié vidéo. La psycho américaine commence par l'histoire d'un personnage avec un virage à 360° dans l'université des chasseurs, l'avenir du FBI, pour reprendre le sujet comme une suite prévisible. Le film d'adolescents use d'un invraisemblable 2nd degré avec une philosophie de jeune, tout en restant divertissant, charmant et sensible.
Le rythme lent avance un récit prévisible qui renouvelle les détails pour accélérer le double jeu en continuant l'hécatombe violente, façon série B légère. Hormis le titre, les événements diffèrent du précédent et même des origines du mal dans sa folie, bien que l'intrigue s'éternise en gâchant l'ensemble, jusqu'aux révélations du long massacre, lors d'un dénouement puissant, pour cette œuvre moyenne car inadaptée à ce genre de film.
> https://youtu.be/gtKtIV1VUos?si=FQSXjshB4nNnYjcQ