On avait (dé)laissé Salma Hayek quelque part entre le Stade Rennais, les pages peoples, 2-3 navets et des piges de voxographie. Ce fut donc un plaisir de la retrouver dans un vrai beau rôle, même si hélas dans un assez mauvais film. Le trip oedipo-initiatique d'un type plus franchouille tu meurs perdu dans un endroit sordide, bof bof bof...
Salma Hayek sauve-t-elle l'entreprise ? Peut-être que oui, mais je me garderais bien de l'affirmer, manquant totalement d'objectivité sur tout ce qui la concerne - pour ses beaux yeux, j'ai même regardé Bandidas jusqu'à la fin (avec l'aide d'une bouteille de vodka, soyons honnête).