Plus ou moins la même histoire, le film aurait gagné en efficacité et à être raccourci.

Tim et Ted, les frères Templeton, sont désormais adultes et mènent chacun leur vie de leur côté. Tim est devenu père de famille et Ted (l’ex-Baby Boss) gère un fond spéculatif. Mais l’arrivée d’un nouveau Baby Boss va venir tout chambouler et être prétexte à réunir les frères ennemis…

Quatre ans après l’excellent Baby Boss (2017), Tom McGrath réitère avec cette suite directe au premier volet. Oubliez les innombrables gags visuels qui faisaient la saveur du film, ici ils se font attendre, face à de longs tunnels de dialogues et un scénario qui sent le réchauffé (à peu de chose près, c’est plus ou moins la même histoire, on a même droit à une visite de Baby Corp, la même à laquelle on avait déjà assisté par le passé). Avec presque 120 minutes au compteur, clairement le film aurait gagné en efficacité et à être raccourci. Avec des sous-intrigues qui n’apportent rien à l’histoire principale (notamment

Si l’effet de surprise n’y est plus, que l’on se rassure, cela ne nous empêche pas d’y passer un agréable moment, que ce soit aux côtés de la nouvelle Baby Boss ou en compagnie de Précieuse. Les séquences au sein de l’école du Dr. Armstrong sont riches en trouvailles et non dénués d’humour (même si le film a tendance à se perdre en longueurs, comme

L’absence de surprise et d’innocence vient faire défaut mais n’empêche pas d’y passer un agréable moment. Clairement les enfants n’y verront que du feu pendant que les adultes n’y trouveront pas leur compte.

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