Wow juste wow.
Quelques passages un peu forcés et gratuit, assez étonnant de la part de Damien Chazelle qui habituellement règle ses films comme sur du papier à musique, ca ne permettra peut être pas à Babylon de dépasser dans mon cœur les bijous que sont Lalaland et First Man, mais à part ça encore une fois quelle maestria.
Gâtés que nous sommes, nous avons droit la même année à l'autobiographie de Spielberg, et maintenant la genèse du 7ème art à la sauce Hollywood, par (le ?) l'un des meilleurs réalisateurs actuels, racontée tambours battant, avec toutes ses victimes, ses mirages, et ses gloires éphémères, mais dont la mémoire durera plus que tout une vie.
Et Margot Robbie, si il y'avait encore besoin de le prouver, quelle actrice !