Un éléphanteau ça trompe un peu
La revue "Schnock" consacre son numéro 10 au classique d'Yves Robert "un éléphant ça trompe énormément" qui est l'archétype du film "bande de copains". Assez avant-gardiste pour l'époque traitant de psychoses et des sexualités. Ici la mouture est tout juste sympathique à l'instar des personnages, typés et atypiques, drôles et évidemment touchants. Dommage que l'écriture manque d'un brun de folie supplémentaire, de dialogues plus ciselés. Le jeu des acteurs est heureusement sobre : palme d'honneur à Frank Dubosc méconnaissable. Quand à Florence Foresti, elle a failli réussir un premier rôle de composition...Lambert Wilson est impeccable. Pas mal.
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