C’est une dystopie dans laquelle j’ai ressenti la même sensation d’espionnage constant mêlé à une bureaucratie omniprésente et étouffante que dans 1984 (j’ai pas beaucoup d’autres références en matière de dystopie). Mais dans ce film, il y a des tuyaux. Le rapport a l’espace est très particulier, souvent oppressant, ce qui renforce l’impact des rêves et la bougée d’air frais qu’ils apportent. L’interaction entre les 2 personnages principaux quand ils sont enfin amenés à se rencontrer, ne man pas convaincue, mais à ce stade on n’est plus là « pour y croire ».