Une équipe de tournage disparaît inexplicablement en Amazonie. On visionne les bandes de leur reportage scabreux.
Bien que ce métrage soit épouvantablement atroce (viols collectifs, démembrement et inspection des entrailles d’une malheureuse tortue, décapitation d’un singe, pénétration d’une femme par une pierre, …), il a le mérite de dénoncer la barbarie et l’abomination causées par l’homme qu’il soit issu d’une grande société policée ou d’une tribu primitive et le sensationnalisme provoqué sciemment par les médias. Ces journalistes ont une appétence particulière pour le stupre et la brutalité. Le réalisme de l’œuvre va jusqu’à tuer réellement ces animaux. Même si a contrario d’un film d’horreur classique, il n’a pas pour but d’effrayer, mais bien d’être effroyablement malsain.