Cas de conscience de Vahid Jalilvand porte parfaitement son nom. Ce film iranien interroge la conscience humaine. Pas de surprise ni d’effets impressionnants, mais un traitement très profond et touchant. Des interrogations sur la nature humaines, interprété par un casting très sobre.
Cas de conscience suit le docteur Nariman (Amir Aghaee), un soir, seul au volant, il tente d’éviter un chauffard et renverse accidentellement une famille en scooter. Il les aide et les dédommage pour les dégâts matériels et insiste pour qu’Amir, leur enfant de 8 ans légèrement blessé, soit conduit à l’hôpital. Finalement, le père, Moussa, (Navid Mohammadzadeh) décline la proposition. Deux jours plus tard, à l’institut médico-légal où il travaille, Nariman s’étonne de voir la famille, venue veiller le corps sans vie d’Amir. Le rapport d’autopsie conclut à une intoxication alimentaire. Mais Nariman a du mal à accepter cette version officielle qui pourtant l’innocente.
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