(...) On y assiste à la rencontre de deux visiteurs routiniers d’un hôpital. Chacun vient y visiter son âme sœur meurtrie : la femme de Vincent Lindon a le cancer de sein, le copain d’Emmanuelle Béart, celui du colon. Les deux œuvres partagent une même concentration sur les « demi-victimes ». Dans Ceux qui restent, on n’apercevra jamais les malades, pas même au travers d’une porte entrebâillée. On s’attendrit davantage des compagnons mécaniques, sempiternellement au chevet, qui n’oseraient pas se plaindre et paraître égoïstes.
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